La ministre du Tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, accompagnée de la directrice générale de l’Agence Millennium Challenge Account–Morocco (MCA-Morocco), Malika Laasri, a donné, lundi à Tanger, le coup d’envoi des travaux de réhabilitation et d’extension de l’Institut de technologie hôtelière et touristique (ITHT).

Ce projet, qui vise à renforcer les structures de formation au Maroc, bénéficie du soutien du Fonds “Charaka” mis en place dans le cadre du programme de coopération “Compact II”, conclu entre le gouvernement du Royaume du Maroc et le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique, représenté par Millennium Challenge Corporation (MCC).

Le Fonds “Charaka” se veut une contribution à la promotion de l’insertion professionnelle des jeunes, à l’amélioration de la compétitivité des entreprises et à l’adoption de modes de gouvernance concertés avec les professionnels.

D’un coût global de près de 64,5 millions de dirhams (MDH), dont un apport de 58,6 MDH du Fonds “Charaka”, ce projet est porté par le Département du Tourisme, en partenariat avec la Fédération nationale de l’industrie hôtelière (FNIH).

Ce partenariat est concrétisé par la création d’un Conseil d’établissement (CE), comme organe de gouvernance de cet établissement de formation professionnelle (EFP), dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP).

Intervenant lors de cette cérémonie, qui s’est déroulée en présence de responsables de la FNIH, de la présidente du Conseil régional du tourisme (CRT) de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Rkia Alaoui, et d’acteurs économiques, Mme Ammor a souligné que la réhabilitation et l’extension de cet établissement s’inscrit dans le cadre de la politique du ministère visant à élargir l’offre de formation aux niveaux national et régional, et à permettre aux jeunes intéressés par les différentes disciplines liées au tourisme de bénéficier de la formation nécessaire.

La ministre a, à cet égard, assuré que le secteur touristique a besoin d’investissements qualitatifs, mais également d’une main-d’œuvre et de cadres qualifiés, pour gagner le pari de la concurrence avec d’autres des destinations internationales, soulignant que le Maroc dispose d’une expérience importante dans le domaine de la formation et d’infrastructures d’envergure, lui permettant d’accompagner les besoins de ce secteur économique vital, notamment en matière de ressources humaines.

Pour sa part, Mme Laasri s’est arrêtée sur les projets lancés par les différentes institutions marocaines en partenariat avec l’Agence, qui ont contribué à promouvoir le développement de nombreux secteurs importants, notant que la contribution de l’Agence à la réalisation de ce projet s’inscrit en droite ligne avec la volonté du Maroc de renforcer sa présence sur la scène mondiale du tourisme et de s’imposer comme une destination touristique de référence.

Elle a relevé que ce projet reflète le partenariat étroit et fructueux entre les secteurs public et privé, visant à réaliser les projets des jeunes et leurs aspirations économiques, à améliorer le revenu des groupes vulnérables et à aider les secteurs gouvernementaux à mettre en œuvre des stratégies et des plans à fort impact socio-économique.

Grâce au soutien du Fonds “Charaka”, l’ITHT de Tanger devrait assurer annuellement 285 sièges pédagogiques supplémentaires, dont 120 sièges au titre des filières additionnelles qui seront créées et qui concernent la gestion et l’ingénierie de la restauration, la gestion des destinations touristiques, la gestion de la qualité, hygiène et salubrité, le tourisme d’affaires et l’évènementiel, l’hôtellerie de luxe et internationale et la cuisine gastronomique méditerranéenne.

Par ailleurs, l’Institut renforcera les compétences de 165 stagiaires chaque année dans le cadre des filières actuelles, couvrant en particulier les métiers de commis de cuisine, d’employé à la restauration, d’employé d’étage, d’agent de restauration de collectivité et de pâtissier.

Il est à noter que les 15 projets bénéficiaires du soutien du Fonds “Charaka”, d’un investissement global d’environ 1,026 milliard de dirhams, portent sur la création de 9 EFP et l’extension, la réhabilitation et/ou la reconversion de 6 EFP existants.

Ces projets couvrent les secteurs de l’agriculture et l’agro-industrie, du tourisme, de l’industrie, de l’artisanat, du BTP, du transport, de la logistique et de la santé.

Ces EFP, qui assureront la formation de près de 12.670 stagiaires annuellement, sont localisés au niveau de six régions du Royaume, à savoir Casablanca-Settat, Fès-Meknès, Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Béni Mellal-Khénifra, Drâa-Tafilalet et l’Oriental.

Le ministère du Tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire a annoncé le lancement, lundi, d’un appel à manifestation d’intérêt pour recenser les établissements d’hébergement touristique (EHT) souhaitant bénéficier de l’appui financier de l’Etat, d’une enveloppe global d’un milliard de dirhams, pour les aider à redémarrer rapidement leur activité.

« Le 21 février 2022 un appel à manifestation d’intérêt (AMI) a été lancé pour recenser les Etablissements d’Hébergement Touristique souhaitant bénéficier de l’appui financier de l’Etat afin de les soutenir financièrement pour un redémarrage rapide de leur activité. Un montant de 1 milliard a réservé par le gouvernement pour cet appui », indique le ministère dans un communiqué parvenu mardi à la MAP.

La méthodologie et l’approche de mise en œuvre de cette mesure d’appui financier de l’Etat aux EHT ont été convenues en étroite concertation avec les parties concernées à savoir le ministère de l’Economie et des finances et les professionnels, fait savoir la même source. Cet appui, qui cible les EHT classés au sens de la réglementation en vigueur, consiste en l’octroi d’une subvention visant à améliorer la qualité de l’offre et la qualité des services offerts.

La subvention est octroyée à hauteur maximale de 10% du chiffre d’affaires (CA) réalisé par l’établissement concerné au titre de l’année 2019, plafonnée à 10 millions de dirhams (MDH).

La gestion de cet appui de l’Etat est confiée à la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT). Les EHT peuvent obtenir le dossier d’AMI auprès de cette dernière sur simple demande envoyée à l’adresse (appui-eht@smit.gov.ma).

A l’issue des évaluations des comités locaux, les résultats obtenus à partir de la combinaison de plusieurs critères permettront de classer les demandes d’appui par région et pour chaque catégorie. Le gouvernement a approuvé un important plan d’urgence d’un montant de deux milliards de dirhams pour le soutien de la relance du secteur du tourisme impacté par la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19), rappelle le ministère.

 

Source : www.maroc.ma

Finalement, Mme aura tenu ses promesses faites aux opérateurs du tourisme. La patience aura fini par payer. Les bonnes nouvelles espérées viennent en effet de tomber ce matin, objet d’un communiqué de presse diffusé par le département de Mme Fatim-Zahra Ammor. Pas moins de 5 mesures d’accompagnement sont annoncées sur lesquelles nous reviendrons dans un article à part…

« Le Gouvernement a approuvé un important plan d’urgence d’un montant de 2 Milliards de Dirhams en faveur du secteur du tourisme, secteur fondamental pour l’économie du Royaume et que Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu l’Assiste, Entoure de Sa Haute Attention et Suivi.

Cette importante décision fait suite à la réunion du vendredi 14 janvier, présidée par M. Aziz Akhannouch, Chef du Gouvernement, pendant laquelle Mme Fatim-Zahra Ammor, Ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie Sociale et Solidaire a présenté le plan d’urgence du secteur, en présence de Mme Nadia Fettah, Ministre de l’Économie et des Finances, et M.Fouzi Lekjaa, Ministre délégué au Budget.

Après plus de 22 mois de crise sanitaire, cette nouvelle série de mesures de soutien est un signal fort au secteur du tourisme, qui permettra la sauvegarde d’entreprises, évitera la destruction massive des emplois, et préparera la relance du secteur.

Cinq mesures phares ont ainsi été adoptées notamment:

Ces mesures sont le fruit de plusieurs réunions préalables tenues entre la Ministre de tutelle Fatim-Zahra Ammor et la Confédération Nationale du Tourisme (CNT), ainsi que de concertations entre le Ministère de l’Économie et des Finances et le Groupement Professionnel des Banques du Maroc (GPBM). Il est à rappeler que le tourisme, secteur clé pour l’économie marocaine, a été profondément impacté par la crise sanitaire et tout ce qu’elle a impliqué comme conséquences négatives sur ce secteur à travers le monde ».

Source : www.premiumtravelnews.com

 

اللقاء التكويني التواصلي الذي نظم تحت اشراف الجامعة الوطنية للصناعة الفندقية بفندق المرنيين بفاس لفائدة العديد من الفعاليات السياحيةوالمهنية ومدراء المؤسسات ودور الضيافة بالجهة من اجل الرفع من جودة الخدمات السياحية ومتابعة كل المستجدات الجديدة في القطاع السياحي خاصة ان ازمة كوفيد غبرت المسارالسياحي ويتطلب اليوم نهج استراتيجية قويمة وفعالة لتعاملك مع الوضعية السياحية المقلقة وفي هذا السياق اخذنا بعض الشهادات الحية لبعض الفاعلين السياحين كل من الفاعل السياحي والمدير العام لفندق zalagh بفاس والسيدالعلوي مدير احد دورالضيافةبازرو ا لذين ساهموا بدون شك في انجاح هذا اللقاء الدراسي الذي امتد على مدار يومين من 16دحنبر الى غاية 17 منه 2021

La reconduction de l’indemnité forfaitaire CNSS en faveur des salariés du secteur touristique est appréhendée différemment par les opérateurs, sinon accueillie avec beaucoup de prudence en regard de sa difficile applicabilité et les « pièges » juridiques qu’elle comporte. Pourtant, l’administration ne peut pas passer tellement à côté des exigences de la loi en ce domaine.

Flou total qui rend, en effet, les employeurs du secteur très méfiants et son en train d’y réfléchir sérieusement pour emprunter les voies solvables afin d’éviter tout démêlé avec la justice.

Les premiers à tirer la sonnette d’alarme sont les hôteliers, à travers la FNIH qui n’a pas trop attendu pour apporter les éclairages qu’il faudrait pour les unités d’hébergement touristique.

« Faisant suite au communiqué de la CNSS, fixant les conditions d’éligibilité à l’indemnité forfaitaire pour les mois de septembre, octobre, novembre et décembre 2021, nous attirons votre attention sur le fait que les modalités d’application de cette indemnité pourraient engendrer des difficultés, voire des sanctions pour les entreprises qui ont déjà réglé l’intégralité des salaires de leurs employés pour la période de septembre, octobre et novembre », explique Lahcen Zelmat, Président de la Fédération Nationale de l’Industrie Hôtelière.

Dans ce cadre, la FNIH se réfère, d’abord, aux dispositions du décret n° 2.21.966, qui rappelle clairement les conditions d’octroi de l’indemnité forfaitaire, à savoir :

1- Octroi de l’indemnité forfaitaire pour les mois de septembre à décembre 2021

2- Conditions d’éligibilité :

a- Baisse de 50% du CA des mois de septembre, octobre, novembre et décembre 2021 par rapport aux mêmes mois de 2019

b- Maintien de 80% des salariés déclarés en février 2020

c- Le salaire réglé au titre des mois concernés et l’indemnité forfaitaire ne doivent pas dépasser les 100% du salaire payé en février 2020.

Toutefois, la FNIH souligne, pour ce qui est de la condition de maintien de 80% des emplois déclarés à la CNSS, en février 2020, les emplois sont considérés en volume et non pas par listes nominatives : les nouvelles recrues après février 2021 seront comptabilisés dans les 80% mais ne bénéficieront pas de l’indemnité forfaitaire.

Des failles à risque que la FNIH entend faire éviter à ses membres, en proposant 6 « réformes » en lieu et place mais que l’administration rejette en bloc:

1- Faire bénéficier de l’indemnité forfaitaire les salariés recrutés après février 2020

2- Supprimer le critère du maintien de 80% de l’effectif des salariés employés en février 2020

3- Supprimer la condition de baisse de 50% du CA

4- Verser l’Indemnité aux entreprises ayant déjà réglé les 100% des salaires pour les mois de septembre, octobre et novembre

5- Amender le décret afin qu’il soit adapté à la réalité du secteur après 21 mois d’arrêt ou de travail à mi-temps

6- Changer les mois retenus par décembre 2021, janvier, février et mars 2022

Les risques d’opérationnalité de l’indemnité forfaitaire comporte, justement, un risque fiscal clair. « Tel que rédigé, explique la FNIH, le décret susmentionné exclut toutes les entreprises ayant versé les 100% des salaires au titre des mois de septembre, octobre et novembre 2021 du bénéfice de l’indemnité forfaire ».

Pour éviter le dérapage, elle met en garde les membres qui seraient tentés de le faire, contre les risques qu’ils peuvent encourir en redressement fiscal par la DGI, une fois le contrôle effectué (1 ou 2 ans après la reprise de l’activité). Pire, ils peuvent être pénalement poursuivis, en devenant exposées à des poursuites pour détournement de deniers publics : du fait du non-respect des critères d’éligibilité à l’indemnité forfaitaire.

Il s’avère que l’indemnité forfaitaire CNSS est un sujet à remous, dont l’enjeu principal nuit plus qu’il ne sert. Comme nous l’explique un hôtelier, « cette décision est inapplicable, car tout acteur qui en sera tenté risque de graves sanctions », en précisant que «si l’IF avait précédemment profité à quelques dizaines de milliers d’employés, au meilleur des cas, elle ne profitera par contre qu’à 2 ou 3000 employés pour cette fois ».

 

 

L’indemnité forfaitaire CNSS, arme à double tranchant ?

 

Après quelques mois de gestation, les structures d’hébergement touristique de la Région Béni-Mellal rallient viennent de se constituer en ARIH, répondant ainsi aux appels incessants de la FNIH à la structuration régionale de toutes les AIH du pays, en attendant que d’autres lâchent du lest et fassent abstraction d’égos personnels défédérateurs.

Ralliant, donc, les rangs des ARIH déjà constituées, les opérateurs des structures d’hébergement touristique de la région ont élu, Said Reddad Président en attendant la constitution du Bureau qui ne va pas tarder à voir le jour très prochainement. Cette confiance du collectif hôtelier investie en Said Reddad a minutieusement été réfléchie, en regard de ses compétences professionnelles cumulées des années durant au sein de sa famille quasi orientée hôtellerie, de père en fils. C’est aussi une confiance en ses capacités de fédérateur, jouissant de l’estime de tous ses collègues.

Déjà la région, bénie par une richesse écologique monumentale, a besoin que toutes les provinces qui la composent de parler de la même voix pour combiner son offre en termes de tourisme de nature, de villégiature, de sports de montagne, de tourisme de randonnée, de famille, etc. Une opportunité qui exige une union régionale porteuse. Une image d’ensemble pour un produit unique.

Encore que la région doit relever le défi en termes de capacités litières, de circuits nature et de montagne, notamment pour encourager le tourisme intérieur, vu que la région en a la vocation, d’autant plus desservie par autoroute. Car, ne l’oublions pas, le potentiel naturel de Khénifra est unique et, à la fois, complémentaire de celui de Béni-Mellal.

L’ARIH Béni-Mellal-Khénifra voit le jour

Dans une lettre adressée à Aziz Akhannouch, chef du gouvernement, la Fédération nationale de l’industrie hôtelière (FNIH) a souligné la situation alarmante de son activité. Après l’instauration de nouvelles restrictions, la non-exécution du contrat-programme signé en 2020 ou encore l’absence de visibilité quant aux décisions de l’exécutif, Lahcen Zelmat, chef de la FNIH, a lancé que «la situation financière de la quasi-totalité des établissements d’hébergement ne leur permet plus de faire face à leurs dépenses urgentes».

La lettre en question, date du 29 novembre dernier et commence par : «nous nous permettons de vous adresser la présente lettre pour vous faire part du désarroi des opérateurs du secteur de l’industrie hôtelière nationale qui vit, depuis l’avènement de la pandémie de la Covid-19 en mars 2020, une crise sans précédent, caractérisée aussi bien par sa profondeur que par sa longévité, sans aucune visibilité à ce jour». La missive envoyée à Akhannouch indique que «les établissements d’hébergement touristique subissent les conséquences désastreuses de la crise sanitaire de la Covid-19, et ce, depuis plus de 20 mois». Elle accuse le gouvernement de ne pas avoir appliqué les mesures prévues par le contrat-programme signé en aout 2020.

«Vingt mesures n’ont pas été déployées intégralement et celles qui ont été mises en exécution n’ont nullement tenu compte de la longévité de cette crise, rendant cette situation de plus en plus intenable aussi bien pour les établissements d’hébergement, leurs employés que pour les investisseurs dans ce secteur», regrette Zelmat dans ladite lettre. Et de noter que «malheureusement, le maintien de certaines restrictions en plus de l’exigibilité du pass sanitaire d’une part, et la décision d’annulation de plusieurs manifestations d’envergure et de suspension des vols en provenance et à destination des marchés majeurs de la destination Maroc d’autre part, provoquent une incompréhension profonde chez les opérateurs qui voient en cela un signal peu rassurant sur le calendrier de la reprise de nos activités, et ce, malgré une amélioration incontestable de la situation sanitaire dans notre pays».

En outre, la FNIH soutient que les dépenses et charges de l’industrie hôtelière s’empilent, notamment les salaires, les impôts, les redevances, l’électricité, les eaux et les assurances et les échéances bancaires (etc). Des dépenses urgentes que la plupart des établissements ne sont plus en mesure de supporter. «En l’absence de mesures d’accompagnement urgentes et spécifiques, nous craignons une difficulté grandissante à envisager l’avenir de notre industrie, et in fine, une implosion de son tissu socio-économique que notre pays, sous les hautes directives de Sa Majesté le roi Mohammed VI que Dieu l’assiste, a fait le choix et fourni des moyens considérables, pendant des décennies afin de rehausser au niveau des grandes destinations mondiales», plaide la lettre. Et de conclure qu’il est urgent d’appliquer les mesures du contrat-programme précédemment négocié afin de mettre en place un «plan Marshall pour sauver le secteur du tourisme».

Source : https://www.lebrief.ma/

Les hôteliers et opérateurs des structures d’hébergement touristique de la région Marrakech-Safi ont fait leur choix : porter Ahmed Bennani (Président du Groupe Hivernage Collection) à la tête de l’ARIH, succédant ainsi à Salah Eddine Naciri après plusieurs années de loyaux services en faveur des unités de la région, la première en termes d’attractivité touristique et de concentration d’établissements hôteliers.

Seul candidat dans la course à la présidence, pour des raisons d’estime surtout de la part de ses collègues électeurs et de ses capacités d’homme de la situation qui ne compte que des amis dans la profession, le nouveau Président peut se prévaloir d’un tempérament de challenger qui aura vite percé dans le domaine de l’hôtellerie et de la restauration, avec des touches d’innovation perceptibles à travers ses établissements.

C’est, donc, à l’issue de l’Assemblée Générale Ordinaire Elective de l’ARIH, tenue le mercredi 1er décembre à l’hôtel Palm Plaza & Spa, qu’Ahmed Bennani fut investi dans ses nouvelles fonctions, en présence d’un collectif soutenu de professionnels assistant à la séance, présidée par Lahcen Zelmat, Président de la FNIH.

Une élection qui intervient en plein contexte de crise et au lendemain de la fermeture de l’espace aérien marocain, attisant de plus en plus les craintes des hôteliers de la région réunis dont le business se meurt à petit feu. En effet, l’assistance n’a pas manqué de tirer une fois de plus la sonnette d’alarme mais avec beaucoup plus de vigueur justifiée qu’auparavant. Une impasse qui a d’ailleurs porté la FNIH à adresser au Chef de Gouvernement un courrier où elle dit tout dans l’objectif que le Gouvernement donne des signes de réactivité en toute urgence. Elle sera ainsi la première fédération de métiers à s’investir de courage et de réalisme pour porter la voix de ses membres au Chef de Gouvernement. Un début ouvrant la porte aux autres fédérations, peut-être, de lui emboîter le pas.

Inscrit également dans cette logique mobilisatrice de défense des intérêts des structures d’hébergement, le nouveau Président se dit prêt assumer ses fonctions en toute responsabilité et respect des statuts de la fédération, dans un esprit de co-construction collective avec les 25 administrateurs qui seront constitués dans le nouveau bureau. « Aujourd’hui, notre association doit accentuer d’avantage son lobbying pour défendre les intérêts de notre industrie. Nous devons travailler main dans la main sur une feuille de route à mettre en place  pour sauver le secteur du tourisme et activer la reprise », avait-il déclaré, tout en rendant hommage au Président sortant M. Naciri pour son œuvre de longue haleine et de parfait conciliateur.

 

Source : http://premiumtravelnews.com/

C’est sous mandat d’un nouveau Président de l’ARIH Marrakech-Safi, que la FNIH organise un autre séminaire laborieux très attendu par les RH des structures d’hébergement touristique sous le signe de l’innovation dans les bonnes pratiques.

En effet, au lendemain de l’AGE de l’ARIHMS et la désignation d’un nouveau Président, en l’occurrence M. Bennani (Hivernage Collection) vu qu’il est seul dans la course, le Palm Plaza Hotel & Spa a rendez-vous, le 02 décembre prochain, avec l’une des importantes escales des experts recommandés par la FNIH, pour débattre d’un thème d’actualité adapté aux tendances de l’heure : « Réinventer l’Hôtellerie par la Reconquête, l’Acquisition et l’Innovation pour une Performance durable».

Prévu pour la journée, le séminaire verra défiler 4 intervenants spécialistes (voir affiches), qui connaissent bien leur affaire en termes de marketing digital et ses projections futures en corrélation avec l’attractivité spécifique de chaque territoire touristique. Elément de connaissance crucial pour assurer une bonne vente du produit avec ses principaux pôles d’attraction afin de parvenir à une meilleure expérience client.

Selon les organisateurs, l’objectif du séminaire est de transmettre aux participants les connaissances, les processus ainsi que les outils nécessaires à la conception d’une stratégie digitale et sa mise en œuvre pour réussir une bonne expérience client. « L’événement sera, également, une occasion d’échange et de débat sur les opportunités offertes et les bonnes pratiques appliquées dans d’autres destinations touristique du pourtour méditerranéen », assure t-on.

Lien d’inscription : https://cutt.ly/VT1C1OL

Source : http://premiumtravelnews.com

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